\documentclass[a11paper]{article} \usepackage{karnaugh-map} \usepackage{subcaption} \usepackage{tabularx} \usepackage{titlepage} \usepackage{document} \usepackage{booktabs} \usepackage{multicol} \usepackage{float} \usepackage{varwidth} \usepackage{graphicx} % \usepackage[toc,page]{appendix} \usepackage[usenames,dvipsnames]{xcolor} \title{Rapport d'APP} \class{Logique Combinatoire} \classnb{GEN420 \& GEN430} \teacher{Marwan Besrour \& Gabriel Bélanger} \author{ \addtolength{\tabcolsep}{-0.4em} \begin{tabular}{rcl} % Ajouter des auteurs au besoin Benjamin Chausse & -- & CHAB1704 \\ Shawn Couture & -- & COUS1912 \\ \end{tabular} } \newcommand{\todo}[1]{\begin{color}{Red}\textbf{TODO:} #1\end{color}} \newcommand{\note}[1]{\begin{color}{Orange}\textbf{NOTE:} #1\end{color}} \newcommand{\fixme}[1]{\begin{color}{Fuchsia}\textbf{FIXME:} #1\end{color}} \newcommand{\question}[1]{\begin{color}{ForestGreen}\textbf{QUESTION:} #1\end{color}} \begin{document} \maketitle \newpage \tableofcontents \newpage \section{Module \texttt{thermo2bin}} \subsection{Démarche et équations} L’objectif était de convertir un code thermométrique de 12 bits en un code binaire non signé sur 4 bits. Le nombre représenté par un tel code est obtenu en comptant le nombre de bits à 1. Les équations logiques doivent donc effectuer ce comptage. Étant donné que le code est sur 12 bits, il a été divisé en trois groupes de 4 bits, ce qui a permis l'utilisation de tables de Karnaugh pour déterminer les équations logiques. D'après la table de vérité du code thermométrique 4 bits (\ref{tab:table-de-vérité-thermométrique-4-bits}), le bit le plus significatif du résultat binaire n’est jamais à 1. L'équation du bit $E$ est donc simplement $E = 0$. Le bit $F$ est à 1 uniquement si $A$ l’est également, d’où l’équation $F = A$. Les tables de Karnaugh ont donc été utilisées uniquement pour les deux bits restants. Les deux tables, une pour chaque bit, se trouvent en annexe (\ref{tab:karnaugh-bit-G} et \ref{tab:karnaugh-bit-H}). Seule l'équation du bit $H$ a subi une simplification, où $A'$ a été mis en facteur. Les équations obtenues sont relativement simples : \begin{align} E & = 0 \ F & = A \ G & = A'C \ H & = C'D + A'B \end{align} Les trois résultats binaires sont ensuite additionnés à l’aide d’un additionneur 4 bits, afin d’obtenir la valeur totale correspondant au nombre de bits à 1 dans le code thermométrique. En ce qui concerne la détection d'erreurs, une vérification par groupe de 2 bits est effectuée. Celle-ci s’assure que, pour chaque paire consécutive, le LSB n’est pas à 0 si le MSB est à 1, ce qui permet une détection rapide d’erreurs éventuelles (voir le code en annexe). \subsection{Explication des schémas blocs} Le module \texttt{thermo2bin} est constitué de deux additionneurs 4 bits, chacun composé de quatre additionneurs 1 bit. Les additionneurs 1 bit ont été implémentés à l’aide de logique combinatoire ainsi que de blocs utilisant des instructions \texttt{case}. Le module thermométrique comprend trois sections identiques effectuant la conversion d’un code thermométrique 4 bits en un code binaire non signé. Il intègre également une section de détection d’erreurs, qui agit directement sur l’entrée du module. Il est à noter que Vivado optimise certains sous-modules à l’aide de tables de correspondance (\textit{look-up tables}) afin d’améliorer leur performance par rapport à une implémentation reposant uniquement sur des portes logiques élémentaires. \subsection{Fréquence d’opération} Pour déterminer la fréquence d’opération maximale, il faut analyser le schéma obtenu lorsque tout les sous-modules sont combinés et identifier le chemin le plus long qu’un signal peut parcourir de l’entrée à la sortie. Cette analyse peut être effectuée en observant les schémas générés par Vivado. Le chemin le plus long à l’intérieur d’un additionneur 1 bit se situe entre les bits d’entrée et le signal de retenue (\textit{carry-out}), ce qui représente un total de 3 portes logiques dans le premier additionneur 1 bit. Par la suite, les additionneurs 1 bit sont chaînés via les signaux \textit{carry-in} et \textit{carry-out}, avec 2 portes logiques supplémentaires par liaison. Un additionneur 4 bits utilise ainsi 4 additionneurs 1 bit en série, ce qui donne un chemin critique de $2 \times 4 + 1 = 9$ portes logiques. Le module \texttt{thermo2bin} contient deux additionneurs 4 bits chaînés. Le second additionneur reçoit en entrée le \textit{carry-out} du premier, ajoutant 8 portes logiques supplémentaires. Le total pour les deux blocs est donc d’environ 17 portes logiques. Du côté des entrées, le bit le plus coûteux en logique est $H$, avec le chemin suivant : $C' \rightarrow (C'D) \rightarrow (C'D + A'B)$, soit 3 portes logiques supplémentaires. On obtient ainsi un total d’environ 20 portes logiques. En supposant un temps de propagation de $5,\text{ns}$ par porte, le temps de propagation maximal est donc approximativement $20 \times 5 = 100,\text{ns}$. Sans tenir compte du temps de lecture ni des \textit{buffers} que Vivado pourrait ajouter aux entrées et sorties, la fréquence maximale estimée est : \begin{align} \frac{1}{100 \times 10^{-9}} & \approx 10,\text{MHz} \end{align} Ce résultat est loin des $20,\text{MHz}$ exigés. Cependant, Vivado optimise les additionneurs 1 bit à l’aide de \textit{look-up tables}, réduisant le circuit logique de 3 à 1 porte logique dans certains cas. Cela abaisse le nombre total de portes logiques à environ 11, ce qui améliore la fréquence maximale à : \begin{align} \frac{1}{11 \times 5 \times 10^{-9}} & \approx 18.18,\text{MHz} \end{align} Ce n’est toujours pas suffisant pour atteindre l’objectif fixé. \subsection{Implémentation} Le code VHDL du thermo2bin est donnée dans l'annexe. 3 composantes sont utilisées de façon hiérarchique. Le module thermo2bin aurait pu être diviser en sous-modules de 4 bits mais à des fin d'optimisation, les trois conversion de segments de 4 bits thermométrique sont tous dans le même module. Au début, après le begin, on retrouve 3 sections quasi identiques. Ces dernières performent les équations booléaine de convertions sur les segments de 4 bits en provenance du vecteur thermométrique de 12 bits. Les résultats sont mis dans 3 signaux, lesquels sont additionner avec l'additionneur 4 bits un par un. Le résultat du premier plus le deuxième est additionner par la suite avec le troisième. Un signaux de "carry" permet de lier les deux additionneur ensemble. Le résultat de l'addition est mise en sortie du module thermo2bin. La détection d'erreur suit à la fin du code. Cette dernière à été expliquer dans la section de démarche. \\ Le code VHDL de l'additionneur de 4 bits est simple. 4 composantes d'additionneur 1 bits sont instancié. Des signaux permettent de transmettre les "carry" d'un additionneur à un autre, de même pour les signaux d'additions qui permettent d'additionner chaque bits des deux nombre de 4 bits ensemble. Le premier module additionne les "LSB" ensemble et donne le "carry" à l'additionneur suivant, qui additionne les bits à la position 1 ensemble, ainsi de suite. \\ Les additionneurs 1 bits son simple et sont le résultat d'une table de vérité de laquel une expression booléaine à été construite. \section{Simulation Complète} Tout les modules du projet ont leurs propre test bench avec leurs tests unitaire. Par conséquent, le testbench de AppCombiTop n'a pas tout les tests de 7 segments. Il test que les boutons changent les deux DELs de parité et que l'entrée ADCth change les DELs PMOD. Le testbench de Thermo2bin test tout les cas de figure valide et quelques tests invalide. Les autres testbench testent les modules individuellement pour tout les cas de figure ou presque tout. Il était donc redondant et trop long de refaire tout ces tests unitaire la dans le test bench d'AppCombiTop, car une duplication des fonctionalitées testé aurait lieux. \\ Le banc de test du Mux ne tests pas toutes les possibilitées. Étant donnée qu'il est composé de 3 autres composantes lesquels ont leurs propre banc de tests, cela aurait créé des tests redondant. Il test les combinaisons de boutons donnant une erreur, s'assure que celle-ci est envoyé aux 7 segments, que l'erreur en entrée fonctionne, et que toutes combinaisons de boutons valide affiche les bon nombre sur les 7 segments en sortie. Il test aussi la présence du Moin 5 sur la sortie signée. \\ Le test de thermo2bin n'a pas besoin de tester les $2^{12}$ possibilité. Il suffit de tester les $12$ valide puis de tester que la détection d'erreur fonctionne sur toutes les paires de $2$ bits. Ensuite, quelques tests avec plusieurs zéros aléatoire sont effectué juste pour confirmé. \\ Les banc de tests utilisent des "assert" qui permet d'afficher dans le terminal si des problèmes ont eut lieux (résultat obtenu diffère du résultat voulu). La plus part fonctionne parfaitement tandis que d'autre montre quelques problèmes liés aux "undefined" qui causent des affichage d'erreur incohérent tel que: "Obtenu 0 Voulu 0". Malgrès beaucoup de deboggage et le fonctionnement réelle du module, le banc de test du Mux montre des problème de changements et est difficile à lire. Le numéro de test est donc fournis dans son chronogramme. Pour le banc de test de parité, deux chronogrammes sont fournis en fonction de l'état du bouton (cfg). Les banc de tests démontres quelques problèmes de valeurs initiales, comme une valeur de sortie qui change alors que l'entrée n'a pas changé. L'approche utilisé pour faire les bancs de tests devra être révisé afin de mitiger ces problèmes de chronogrammes. Tout les banc de tests ont des "expected" pour les "outputs" attendu. Leurs noms sont directement en lien avec la fonctionalité du module et pas forcément le nom du signal haut niveau. \section{Démarche d'analyse de compatibilité} La première étape à été d'analyser le signal d'entrée de la carte thermométrique. La DEL 2 est connecté au connecteur JD1 en configuration "pull-up". Ceci dit, il faut donc avoir un 0 logique à son entrée pour l'allumé. Cependant, trois inverseurs sont connecté en série avant elle. Soit deux 74V1T04STR et un NC7SP04P5X alimenté à +1.2 Volts. Après analyse de $V_{OH}$, $V_{OL}$, $V_{IL}$ et $V_{IH}$ des deux portes logiques, le NC7SP04P5X à un $V_{OH}$ de maximum 1.1 volts tandis que le 74V1T04STR à besoin d'un $V_{IH}$ minimum de 2 Volts. Donc selon le 74V1T04STR, le NC7SP04P5X envoie toujours un niveau logique bas, ce qui résulte à une del tout le temps allumé sauf lorsque le connecteur de test de la del est en mode de test car un bon niveau logique haut est envoyé à l'entrée des 74V1T04STR. \input{annexe.tex} \end{document}